LA PSYCHOLOGIE AU PIED DU MUR

L’objectif des publications de «La psychologie au pied du mur» qui n’engagent que leurs auteurs  est de susciter une réflexion à la lumière de l’aspiration qui nous est commune ( Voir Page d’accueil ).

LE SENS DE L’EXISTENCE
Points de vue – Ressources

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IL EST TEMPS D’ABORDER L’EXISTENCE AUTREMENT POUR VIVRE AUTREMENT

POUR UNE NOUVELLE TAXE BRIAND

Puisse cet article contribuer au changement radical d’état de conscience et de mentalité que le monde attend.
« Chacun, selon sa force et sa qualité d’âme, ses capacités et ses dons, a son rôle à jouer. »
Source : La Véritable Démocratie

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LA TAXE D’ARISTIDE BRIAND, C’ÉTAIT QUOI ?

La contribution sur les bénéfices exceptionnels de guerre et la loi du 1er juillet 1916

Le 1er juillet 1916, en pleine Première Guerre mondiale, le gouvernement d’Aristide Briand vote la mise en place d’une « contribution exceptionnelle sur les bénéfices de guerre« . Son principe sert évidemment à financer l’effort de guerre mais vise plus spécifiquement à taxer les entreprises pour lesquelles le conflit a augmenté les bénéfices (ceux qu’on appelait à l’époque les « profiteurs de guerre »). La base fiscale de cette taxe est la différence entre le bénéfice réalisé en période de guerre et le bénéfice habituel en temps de paix. Cette taxe fut cependant difficile à mettre en œuvre car à l’époque il n’existait pas d’impôt sur les sociétés et l’impôt sur le revenu des ménages venait à peine d’être mis en place.

Faire payer les riches en temps de crise ? 

Après une période difficile en 2020, les salaires des grands patrons sont repartis à la hausse.

– Faut-il une imposition exceptionnelle des hauts revenus perçus en temps de crise ?
– En 1916, durant la Première Guerre mondiale, le président du Conseil, Aristide Briand, l’avait fait !

Une autre proposition, – peut-être moins morale celle-là… – pourrait être de constituer un fond de solidarité pour les entreprises qui ont réalisé des profits exceptionnels grâce à la crise.
Ce fond serait alimenté par des individus et des petites entreprises afin d’aider les grandes entreprises à faire de nouveaux profits dont une partie serait redistribuée aux donateurs…

Bientôt, une autre proposition qui ne risquera plus de dresser les gagnants contre les autres.

Publié par La Conférence Gambetta en septembre 2020.

La Conférence Gambetta est un laboratoire d’idées républicaines et sociales qui vise à réunir des universitaires, praticiens et citoyens engagés pour croiser les points de vue dans une même poursuite de l’intérêt général au cours de conférences ouvertes à tous ; mettre en valeur des recherches et des débats rendus invisibles par le flot médiatique ; fournir des sources d’inspiration pour le « métier de citoyen ».

POUR UNE NOUVELLE TAXE BRIAND

Faire contribuer les gagnants de la crise pour sauver les petites entreprises

Thomas Guénolé, politologue. David Cayla, économiste.
Avec le concours de Telo Le Bris, rapporteur de la note.

Résumé :

Durant la Première Guerre Mondiale, certaines entreprises firent des profits exceptionnels, tandis que de très nombreuses familles françaises étaient en difficultés. Le gouvernement d’Aristide Briand décida donc en 1916 d’une contribution provisoire sur les bénéfices exceptionnels. Puisque les conséquences économiques de la pandémie sont comparables à celles d’une guerre, cette note propose une nouvelle « Taxe Briand ».

Lire la note…

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